mardi 8 septembre 2015

samedi 5 Septembre

Nous avons décidé de partir visiter le sud de l’ile, à peine à 200 m de la maison nous tombons sur un bouchon, certaines voitures font demi-tour mais nous espérons toujours que ce n’est que passager ,20 mn plus tard nous n’avons avancé que de quelques mètres ,pas de panique c’est un weekend à la Réunion les routes sont surchargées ,nous retrouvons le même problème à St Gilles où tout le monde va à la plage à 11h45 nous arrivons à St Leu et allons visiter Kélonia un ancien élevage de tortues marines élevées pour leur chaire c’est maintenant un hôpital pour tortues et un centre pour sensibiliser la population, les pêcheurs et les touristes à la survie de ces espèces marines dans l’océan indien.






Nous avons eu la chance d’avoir un guide très intéressant qui nous a bien expliqué les problèmes que rencontraient ces tortues (pêche intensive pour les pays asiatiques, filets des pêcheurs, déchets dans la mer en particulier les sacs plastiques que les tortues prennent pour des méduses leur met favori)
Après cela nous partons à la recherche d’un resto sur le bord de mer à St leu le service est lent mais le repas est bon (marlin)
Nous repartons vers le sud à chaque entrée de ville le même problème d’embouteillage nous attend et nous finissons par arriver à St pierre où là Daniel craque car il est déjà tard et il ne souhaite pas conduire de nuit sur ces routes qu’on ne connait pas, il nous faut une demi-heure pour sortir de ce bourbier et nous abandonnons la visite de la ville et rebroussons notre chemin : la visite de St Pierre sera pour une autre fois en semaine !
le trou du souffleur entre St Leu et St Pierre

Etant invités chez les anciens propriétaires de Daniel il y a 39 ans nous décidons de partir à la recherche de quelque chose à emporter il est 17h30 et les magasins ferment, il nous faudra aller à la boulangerie de « la plaine » pour trouver quelques macarons qui sont aussi la grande mode ici.

Ce fut une journée bien fatigante et décevante car en dehors des tortues nous n’avons pas vu grand-chose.

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